Sur la table, des bières Primus ou Tembo. Des bananes plantains accompagnent les nombreuses boissons. Sur la carte, on trouve du poulet à la moambe, du pondu ou encore du poisson braisé. Entre les tables, des éclats de rires viennent rythmer les conversations animées. Le brouhaha des lieux rivalise avec la musique ambiante. Certains clients improvisent même des pas de danse à l’écoute de grands noms comme Tabu Ley Rochereau, Fally Ipupa ou Papa Wemba. Des endroits comme celui-ci, on en trouve plusieurs à Matonge (Bruxelles). Haut lieu de rencontres des Belgo-Congolais, l’endroit a acquis au fil des années une renommée culturelle internationale. Aujourd’hui, le quartier fait partie intégrante de l’identité belgo-congolaise. Une identité aux multiples facettes.
Sonia, Hélène et Pauline : trois femmes, trois histoires douloureuses.
A Bruxelles, j’en ai vécu des choses en 169 ans.
J’ai vu défiler des vies, aujourd’hui, je vous raconte la mienne. Celle d’un immuable Petit-Château dans une ville mouvante.
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— Een nieuwsplatform van journalisten in ballingschap, in samenwerking met studenten journalistiek van VUB en ULB —