Dans les prisons syriennes, l’obscurité, c’est aussi l’absence de l’humanité elle-même. À travers son témoignage, le docteur Amine nous livre un récit comme une blessure ouverte, un cri que personne ne peut ignorer.
— Un média collaboratif des journalistes en exil, des étudiant.es en journalisme de l'ULB et de la VUB —